Devoir de maths corrigé, Annale Bac, spé maths - 12 mai 2022
Terminale générale, spécialité mathématiques
Baccalauréat 12 mai 2022. Sujet posé en spécialité mathématiques, filière générale. Correction détaillée du sujet.
Exercice 1: Arbre et loi binomiale
Le coyote est un animal sauvage proche du loup, qui vit en Amérique du Nord.
Dans l'état d'Oklahoma, aux États-Unis, 70 % des coyotes sont touchés par une maladie appelée ehrlichiose.
Il existe un test aidant à la détection de cette maladie. Lorsque ce test est appliqué à un coyote, son résultat est soit positif, soit négatif, et on sait que :
Partie A
Des vétérinaires capturent un coyote d'Oklahoma au hasard et lui font subir un test pour l'ehrlichiose.
On considère les évènements suivants :
On note
et
respectivement les évènements contraires de M et T.
Partie B
On rappelle que la probabilité qu'un coyote capturé au hasard présente un test positif est de
.
Partie A
Partie B
Cacher la correction
Dans l'état d'Oklahoma, aux États-Unis, 70 % des coyotes sont touchés par une maladie appelée ehrlichiose.
Il existe un test aidant à la détection de cette maladie. Lorsque ce test est appliqué à un coyote, son résultat est soit positif, soit négatif, et on sait que :
- Si le coyote est malade, le test est positif dans 97 % des cas.
- Si le coyote n'est pas malade, le test est négatif dans 95 % des cas.
Partie A
Des vétérinaires capturent un coyote d'Oklahoma au hasard et lui font subir un test pour l'ehrlichiose.
On considère les évènements suivants :
- M: « le coyote est malade »;
- T: « le test du coyote est positif ».
On note
![$\overline{M}$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapProbabilites/ex12052022/5.png)
![$\overline{T}$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapProbabilites/ex12052022/6.png)
- Recopier et compléter l'arbre pondéré ci-dessous qui modélise la situation.
- Déterminer la probabilité que le coyote soit malade et que son test soit positif.
- Démontrer que la probabilité de T est égale à
.
- On appelle « valeur prédictive positive du test » la probabilité que le coyote soit effectivement malade sachant que son test est positif.
Calculer la valeur prédictive positive du test. On arrondira le résultat au millième. -
- Par analogie avec la question précédente, proposer une définition de la « valeur prédictive négative du test » et calculer cette valeur en arrondissant au millième.
- Comparer les valeurs prédictives positive et négative du test, et interpréter.
Partie B
On rappelle que la probabilité qu'un coyote capturé au hasard présente un test positif est de
![$0,694$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapProbabilites/ex12052022/9.png)
- Lorsqu'on capture au hasard cinq coyotes, on assimile ce choix à un tirage avec remise.
On notela variable aléatoire qui à un échantillon de cinq coyotes capturés au hasard associe le nombre de coyotes dans cet échantillon ayant un test positif.
- Quelle est la loi de probabilité suivie par
? Justifier et préciser ses paramètres.
- Calculer la probabilité que dans un échantillon de cinq coyotes capturés au hasard, un seul ait un test positif. On arrondira le résultat au centième.
- Un vétérinaire affirme qu'il y a plus d'une chance sur deux qu'au moins quatre coyotes sur cinq aient un test positif : cette affirmation est-elle vraie ? Justifier la réponse.
- Quelle est la loi de probabilité suivie par
- Pour tester des médicaments, les vétérinaires ont besoin de disposer d'un coyote présentant un test positif. Combien doivent-ils capturer de coyotes pour que la probabilité qu'au moins l'un d'entre eux présente un test positif soit supérieure à
?
Correction exercice 1
Partie A
-
- D'après l'arbre, la probabilité que le coyote soit malade
et que son test soit positif est
- D'après l'arbre, ou la formule des probabilités totales,
- La valeur prédictive positive du test est la probabilité conditionnelle
-
- Par analogie avec la question précédente, la « valeur prédictive négative du test » est la probabilité que le coyote ne soit effectivement pas malade sachant que son test est négatif, et vaut
- La valeur prédictive positive est plus grande que celle négative: le test est donc plus fiable pour diagonostiquer un animal malade qu'un animal sain.
- Par analogie avec la question précédente, la « valeur prédictive négative du test » est la probabilité que le coyote ne soit effectivement pas malade sachant que son test est négatif, et vaut
Partie B
-
- On répète
fois l'expérience aléatoire "capturer un coyote", dont le succès est "le coyote a un test positif" de probabilité
. Ces répétitions sont identiques et indépendantes (car on l'assimile à un tirage avec remise).
Enfin, la variable aléatoireest égale au nombre de succès sur ces 5 répétitions, c'est-à-dire au nombre de coyotes dont le test est positif.
On en déduit que cette variable aléatoiresuit la loi binomiale de paramètres
et
.
- La probabilité que dans un échantillon de cinq coyotes capturés au hasard, un seul ait un test positif est, à l'aide de la calculatrice,
- La probabilité qu'au moins quatre coyotes sur cinq aient un test positif est
ce qui montre que l'affirmation du vétérinaire est vraie.
- On répète
- On capture donc
coyotes, et on note
la variable aléatoire égale au nombre de coyotes ayant un test positif dans cet échantillon. Comme précédemment,
suit la loi binomiale de paramètres
et
.
On cherchetel que
On a
et donc
soit, en prenant le logarithme qui est strictement croissant (donc l'ordre est conservé), puis en divisant par(donc l'ordre est changé):
Il faut donc capturer au moins 4 coyote.
Cacher la correction
Exercice 2: QCM: fonctions, convexité, suites
Cet exercice est un questionnaire à choix multiples. Pour chacune des questions suivantes, une seule des quatre réponses proposées est exacte. Une réponse fausse, une réponse multiple ou l'absence de réponse à une question ne rapporte ni n'enlève de point.
Pour répondre, indiquer sur la copie le numéro de la question et la lettre de la réponse choisie.
Aucune justification n'est demandée.
Pour les questions 1 à 3 ci-dessous, on considère une fonction
définie et deux fois dérivable sur
. La courbe de sa fonction dérivée
est donnée ci-dessous.
On admet que
admet un maximum en
et que sa courbe coupe l'axe des abscisses au point de coordonnées
.
Question 1 :
a. La fonction
admet un maximum en
b. La fonction
admet un maximum en
c. La fonction
admet un minimum en
d. Au point d'abscisse
, la courbe de la fonction
admet une tangente horizontale.
![\[\psset{unit=1.2cm}
\begin{pspicture*}(-5.2,-2.6)(1,1)
\psgrid[gridlabels=0pt,subgriddiv=4,gridwidth=0.25pt,subgridwidth=0.15pt]
\psaxes[linewidth=1.25pt,labelFontSize=\scriptstyle]{->}(0,0)(-5.2,-2.6)(1,1)
%\pscurve[linecolor=blue,linewidth=1.25pt](-5.2,0.05)(-4,0.13)(-3,0.28)(-2,0.4)(-1,0.35)(0,-1)(0.38,-2.6)
\psplot[plotpoints=2000,linewidth=1.25pt,linecolor=red]{-5}{3}{2 x mul 1 add 2.71828 x exp mul neg}
\end{pspicture*}\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/17.png)
Question 2 :
a. La fonction
est convexe sur
b. La fonction
est convexe sur
c. La courbe
représentant la fonction
n'admet pas de point d'inflexion
d. la fonction
est concave sur
Question 3:
La dérivée seconde
de la fonction
vérifie :
a.
pour
b.
pour
c.
d.
Question 4 :
On considère trois suites
,
et
. On sait que, pour tout entier naturel
, on a :
et de plus:
et
.
On peut alors affirmer que :
a. la suite
converge
b. Si la suite
est croissante alors la suite
est minorée par
c.
d. la suite
diverge.
Question 5:
On considère une suite
telle que, pour tout entier naturel
non nul:
.
On peut alors affirmer que :
a. la suite
diverge
b. la suite
converge
c.
d.
.
Question 6:
On considère
une suite réelle telle que pour tout entier naturel
, on a :
.
On peut affirmer que:
a. Il existe un entier naturel
tel que
est un entier
b. la suite
est croissante
c. la suite
est convergente
d. La suite
n'a pas de limite.
Question 1 : b.
Pour
, on a
donc
est croissante,
et inversement ensuite pour
.
Ainsi,
a un maximum local en
.
Question 2 : a.
La dérivée
est croissante sur
,
donc
est positive sur cet intervalle, et
y est convexe.
Question 3: c.
admet un maximum en
, donc sa dérivée
s'y annule.
Question 4 : b.
croissante signifie que
![\[u_0\leqslant u_1\leqslant u_2\leqslant \dots\leqslant u_n\leqslant\dots\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/15.png)
et on a donc, pour tout entier
,
![\[u_0\leqslant u_n\leqslant v_n\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/17.png)
ce qui montre que
est minorée par
.
Question 5: b.
Les inégalités données montrent que
est croissante et aussi aue
est majorée, par 1 par exemple, car
![\[u_n\leqslant u_{n+1}\leqslant\dfrac1n\leqslant1\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/22.png)
Ainsi
est convergente (théorème de convergence monotone)
Question 6: b.
On a
![\[n < u_n < n + 1\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/24.png)
donc, au rang suivant
![\[n+1 < u_{n+1} < n + 2\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/25.png)
et donc, en particulier
![\[u_n<n+1<u_{n+1}\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/26.png)
qui montre que la suite est croissante.
Cacher la correction
Pour répondre, indiquer sur la copie le numéro de la question et la lettre de la réponse choisie.
Aucune justification n'est demandée.
Pour les questions 1 à 3 ci-dessous, on considère une fonction
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/1.png)
![$\R$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/2.png)
![$f'$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/3.png)
On admet que
![$f'$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/4.png)
![$- \dfrac{3}{2}$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/5.png)
![$\left(- \dfrac12~;~0\right)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/6.png)
Question 1 :
a. La fonction
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/7.png)
![$-\dfrac32$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/8.png)
b. La fonction
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/9.png)
![$-\dfrac12$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/10.png)
c. La fonction
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/11.png)
![$-\dfrac12$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/12.png)
d. Au point d'abscisse
![$-1$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/13.png)
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/14.png)
On rappelle que la courbe ci-dessous représente la fonction dérivée
de
.
![$f'$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/15.png)
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/16.png)
![\[\psset{unit=1.2cm}
\begin{pspicture*}(-5.2,-2.6)(1,1)
\psgrid[gridlabels=0pt,subgriddiv=4,gridwidth=0.25pt,subgridwidth=0.15pt]
\psaxes[linewidth=1.25pt,labelFontSize=\scriptstyle]{->}(0,0)(-5.2,-2.6)(1,1)
%\pscurve[linecolor=blue,linewidth=1.25pt](-5.2,0.05)(-4,0.13)(-3,0.28)(-2,0.4)(-1,0.35)(0,-1)(0.38,-2.6)
\psplot[plotpoints=2000,linewidth=1.25pt,linecolor=red]{-5}{3}{2 x mul 1 add 2.71828 x exp mul neg}
\end{pspicture*}\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/17.png)
Question 2 :
a. La fonction
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/18.png)
![$\left]- \infty~;~- \dfrac32\right[$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/19.png)
b. La fonction
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/20.png)
![$\left]- \infty;~- \dfrac12\right[$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/21.png)
c. La courbe
![$\mathcal{C}_f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/22.png)
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/23.png)
d. la fonction
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/24.png)
![$\left] - \infty~;~- \dfrac12\right[$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/25.png)
Question 3:
La dérivée seconde
![$f''$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/26.png)
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/27.png)
a.
![$f''(x) \geqslant 0$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/28.png)
![$x \in \left]-\infty~;~- \dfrac12\right[$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/29.png)
b.
![$f''(x) \geqslant 0$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/30.png)
![$x \in [- 2~;~- 1]$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/31.png)
c.
![$f''\left(- \dfrac32 \right) = 0$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/32.png)
d.
![$f''(- 3) = 0$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/33.png)
Question 4 :
On considère trois suites
![$\left(u_n\right)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/34.png)
![$\left(v_n\right)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/35.png)
![$\left(w_n\right)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/36.png)
![$n$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/37.png)
![$u_n \leqslant v_n\leqslant w_n$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/38.png)
![$\displaystyle\lim_{n \to + \infty} u_n= 1$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/39.png)
![$\displaystyle\lim_{n \to + \infty} w_n= 3$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/40.png)
On peut alors affirmer que :
a. la suite
![$\left(v_n\right)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/41.png)
b. Si la suite
![$\left(u_n\right)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/42.png)
![$\left(v_n\right)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/43.png)
![$u_0$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/44.png)
c.
![$1 \leqslant v_0 \leqslant 3$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/45.png)
d. la suite
![$\left(v_n\right)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/46.png)
Question 5:
On considère une suite
![$\left(u_n\right)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/47.png)
![$n$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/48.png)
![$u_n \leqslant u_{n+1} \leqslant \dfrac1n$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/49.png)
On peut alors affirmer que :
a. la suite
![$\left(u_n\right)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/50.png)
b. la suite
![$\left(u_n\right)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/51.png)
![$\dsp\lim_{n \to + \infty} u_n = 0$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/52.png)
![$\dsp\lim_{n \to + \infty} u_n = 1$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/53.png)
Question 6:
On considère
![$\left(u_n\right)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/54.png)
![$n$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/55.png)
![$n < u_n < n + 1$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/56.png)
On peut affirmer que:
a. Il existe un entier naturel
![$N$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/57.png)
![$u_N$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/58.png)
b. la suite
![$\left(u_n\right)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/59.png)
c. la suite
![$\left(u_n\right)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/60.png)
d. La suite
![$\left(u_n\right)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022/61.png)
Correction exercice 2
Question 1 : b.
Pour
![$x\leqslant-1$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/1.png)
![$f'(x)\geqslant0$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/2.png)
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/3.png)
![$x\geqslant1$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/4.png)
Ainsi,
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/5.png)
![$x=-\dfrac12$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/6.png)
Question 2 : a.
La dérivée
![$f'$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/7.png)
![$\left]- \infty~;~- \dfrac32\right[$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/8.png)
![$f''$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/9.png)
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/10.png)
Question 3: c.
![$f'$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/11.png)
![$x=-\dfrac32$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/12.png)
![$f''$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/13.png)
Question 4 : b.
![$(u_n)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/14.png)
![\[u_0\leqslant u_1\leqslant u_2\leqslant \dots\leqslant u_n\leqslant\dots\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/15.png)
et on a donc, pour tout entier
![$n$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/16.png)
![\[u_0\leqslant u_n\leqslant v_n\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/17.png)
ce qui montre que
![$(v_n)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/18.png)
![$u_0$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/19.png)
Question 5: b.
Les inégalités données montrent que
![$(u_n)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/20.png)
![$(u_n)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/21.png)
![\[u_n\leqslant u_{n+1}\leqslant\dfrac1n\leqslant1\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/22.png)
Ainsi
![$(u_n)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/23.png)
Question 6: b.
On a
![\[n < u_n < n + 1\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/24.png)
donc, au rang suivant
![\[n+1 < u_{n+1} < n + 2\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/25.png)
et donc, en particulier
![\[u_n<n+1<u_{n+1}\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapFonctions/ex12052022_c/26.png)
qui montre que la suite est croissante.
Cacher la correction
Exercice 3: Un peu de tout dans l'espace
On considère un cube ABCDEFGH
et on appelle K le milieu du segment [BC].
On se place dans le repère
et on considère le tétraèdre EFGK.
On rappelle que le volume d'un tétraèdre est donné par:
![\[V=\dfrac13\tm\mathcal{B}\tm h\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapGeomSpace/ex12052022/2.png)
où
désigne l'aire d'une base et
la hauteur relative à cette base.
![$$(5.5,5.8)
\psframe(0.2,0.2)(3.7,3.7)%ABFE
\psline(3.7,0.2)(5,1.9)(5,5.4)(3.7,3.7)%BCGF
\psline(5,5.4)(1.5,5.4)(0.2,3.7)%GHE
\psline[linestyle=dashed](0.2,0.2)(1.5,1.9)(5,1.9)%ADC
\psline[linestyle=dashed](1.5,1.9)(1.5,5.4)%DH
\pspolygon[linestyle=dotted,linewidth=1.25pt](0.2,3.7)(5,5.4)(4.35,1.05)%EGK
\uput[dl](0.2,0.2){\small A}\uput[dr](3.7,0.2){\small B}\uput[r](5,1.9){\small C}
\uput[dr](1.5,1.9){\small D}\uput[l](0.2,3.7){\small E}\uput[r](3.7,3.7){\small F}
\uput[ur](5,5.4){\small G}\uput[ul](1.5,5.4){\small H}\uput[dr](4.35,1.05){\small K}
$$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapGeomSpace/ex12052022/5.png)
Cacher la correction
On se place dans le repère
![$\left( A~;~\overrightarrow{AB},~\overrightarrow{AD},~\overrightarrow{AE}\rp$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapGeomSpace/ex12052022/1.png)
On rappelle que le volume d'un tétraèdre est donné par:
![\[V=\dfrac13\tm\mathcal{B}\tm h\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapGeomSpace/ex12052022/2.png)
où
![$\mathcal{B}$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapGeomSpace/ex12052022/3.png)
![$h$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapGeomSpace/ex12052022/4.png)
![$$(5.5,5.8)
\psframe(0.2,0.2)(3.7,3.7)%ABFE
\psline(3.7,0.2)(5,1.9)(5,5.4)(3.7,3.7)%BCGF
\psline(5,5.4)(1.5,5.4)(0.2,3.7)%GHE
\psline[linestyle=dashed](0.2,0.2)(1.5,1.9)(5,1.9)%ADC
\psline[linestyle=dashed](1.5,1.9)(1.5,5.4)%DH
\pspolygon[linestyle=dotted,linewidth=1.25pt](0.2,3.7)(5,5.4)(4.35,1.05)%EGK
\uput[dl](0.2,0.2){\small A}\uput[dr](3.7,0.2){\small B}\uput[r](5,1.9){\small C}
\uput[dr](1.5,1.9){\small D}\uput[l](0.2,3.7){\small E}\uput[r](3.7,3.7){\small F}
\uput[ur](5,5.4){\small G}\uput[ul](1.5,5.4){\small H}\uput[dr](4.35,1.05){\small K}
$$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapGeomSpace/ex12052022/5.png)
- Préciser les coordonnées des points E, F, G et K.
- Montrer que le vecteur
est orthogonal au plan (EGK).
- Démontrer que le plan (EGK) admet pour équation cartésienne :
- Déterminer une représentation paramétrique de la droite
orthogonale au plan (ECK) passant par F.
- Montrer que le projeté orthogonal L de F sur le plan (EGK) a pour coordonnées
.
- Justifier que la longueur LF est égale à
.
- Calculer l'aire du triangle EFG. En déduire que le volume du tétraèdre EFGK est égal à
.
- Déduire des questions précédentes l'aire du triangle EGK.
- On considère les points P milieu du segment [EG], M milieu du segment [EK] et N milieu du segment[GK]. Déterminer le volume du tétraèdre FPMN.
Correction exercice 3
- E( 0 ; 0; 1) ;   F( 1 ; 0; 1) ;
  G( 1 ; 1 ; 1) ;   K( 1 ; 0,5 ; 0)
- On a
et
qui sont non colinéaires, et tels que
et
et doncest orthogonal à deux vecteurs colinéaires du plan (EGK) et donc
est orthogonal au plan (EGK).
- On déduit de la question précédente qu'une équation cartésienne du plan (EGK)
s'écrit sous la forme
De plus,, d'où
, et donc le plan (EGK) admet bien pour équation cartésienne :
- La droite
orthogonale au plan (ECK) admet donc
pour vecteur directeur et comme elle passe de plus par F, on peut écrire la représentation paramétrique
- Comme
et
, le projeté orthogonal L de F sur le plan (EGK) est l'intersection de la droite et du plan.
En particulier les coordonnées de L vérifient la représentation paramétrique précédente, pour un certain paramètre, et aussi l'équation du plan (EGK), soit
d'où les coordonnées de L:
qui sont bien les coordonnées recherchées. -
- Le triangle EFG est isocèle rectangle et a pour aire
Dans le tétraèdre EFGK, la hauteur associée à la base EFG est KK',
On a KK'=1 et donc le volume
- On eput aussi calculer ce volume en prenant la base EGK,
la hauteur associée étant alors LF, et on a donc
-
Comme les deux triangles EGK et PMN sont dans le même plan, les hauteurs qui leurs sont associées dans les deux trétraèdres sont les mêmes, soit LF.
D'arpès le théorème de Thalès, on a,
et
: les longueurs de tous les côtés sont divisées par 2, et l'aire est donc divisée par 4.
Finalement, on obtient l'aire du tétraèdre:
Cacher la correction
Exercice 4: Trajectoire d'une balle de golf
Partie A : études de deux fonctions
On considère les deux fonctions
et
définies sur l'intervalle
par:
![\[f(x) = 0,06\left(-x^2 +13,7x\right)\quad \text{et}\quad g(x) = (-0,15x + 2,2)e^{0,2x} - 2,2.\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/4.png)
On admet que les fonctions
et
sont dérivables et on note
et
leurs fonctions dérivées respectives.
Partie B : trajectoires d'une balle de golf
Pour frapper la balle, un joueur de golf utilise un instrument appelé « club» de golf.
On souhaite exploiter les fonctions
et
étudiées en Partie A pour modéliser de deux façons différentes la trajectoire d'une balle de golf. On suppose que le terrain est parfaitement plat.
On admettra ici que
est la valeur qui annule la fonction
et une approximation de la valeur qui annule la fonction
.
On donne ci-dessous les représentations graphiques de
et
sur l'intervalle [0 ; 13,7].
![$$(-1,-1)(14,3.5)
\psgrid[gridlabels=0pt,subgriddiv=1,gridwidth=0.2pt]
\psaxes[linewidth=1.25pt,Dx=20,Dy=20]{->}(0,0)(-1,-1)(14,3.5)
\psplot[plotpoints=1000,linewidth=1.25pt,linecolor=red]{0}{13.7}{13.7 x mul x dup mul sub 0.06 mul}\uput[ul](3,2){\red $\mathcal{C}_f$}
\psplot[plotpoints=1000,linewidth=1.25pt,linecolor=blue]{0}{13.7}{2.2 0.15 x mul sub 2.71828 0.2 x mul exp mul 2.2 sub}\uput[ur](12,2.2){\blue $\mathcal{C}_g$}
\uput[dl](0,0){0}\uput[d](1,0){1}\uput[l](0,1){1}\uput[d](13.7,0){13,7}
$$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/34.png)
Pour
représentant la distance horizontale parcourue par la balle en dizaine de yards après la frappe, (avec
),
(ou
selon le modèle) représente la hauteur correspondante de la balle par rapport au sol, en dizaine de yards (1 yard correspond à environ
mètre).
On appelle « angle de décollage » de la balle, l'angle entre l'axe des abscisses et la tangente à la courbe (
ou
selon le modèle) en son point d'abscisse
. Une mesure de l'angle de décollage de la balle est
un nombre réel
tel que
est égal au coefficient directeur de cette tangente.
De même, on appelle « angle d'atterrissage » de la balle, l'angle entre l'axe des abscisses et la tangente à la courbe (
ou
selon le modèle) en son point d'abscisse
. Une mesure de l'angle d'atterrissage de la balle est un nombre réel
tel que
est égal à l'opposé du coefficient directeur de cette tangente.
Tous les angles sont mesurés en degré.
![\[\begin{tabular}{|*2{p{8cm}|}}\hline
Le sch\'ema illustre les angles de d\'ecollage et d'atterrissage associ\'es \`a la courbe
$\mathcal{C}_f$&Le sch\'ema illustre les angles de d\'ecollage et d'atterrissage
associ\'es \`a la courbe $\mathcal{C}_g$.\\ \hline
\psset{unit=0.5cm}
\begin{pspicture}(-0.3,-0.75)(14,3.5)
%\psgrid
\psaxes[linewidth=1.25pt,Dx=20,Dy=10](0,0)(-0.3,-0.3)(14,3)
\psplot[plotpoints=1000]{0}{2}{0.822 x mul}
\psplot[plotpoints=1000,linewidth=1.25pt,linecolor=red]{0}{13.7}{13.7 x mul x dup mul sub 0.06 mul}\uput[ul](3,2){\red $\mathcal{C}_f$}
\psline(13.7,0)(11,2)
\psarc(0,0){0.7}{0}{40}\rput(1.2,0.5){\footnotesize $d$}
\psarc(13.7,0){0.7}{140}{180}\rput(12.4,0.5){\footnotesize $a$}
\uput[d](13.7,0){\footnotesize 13,7}
\end{pspicture}&\psset{unit=0.5cm}
\begin{pspicture}(-0.3,-0.75)(14,3.5)
%\psgrid
\psaxes[linewidth=1.25pt,Dx=20,Dy=10](0,0)(-0.3,-0.5)(14,3)
\psplot[plotpoints=1000,linewidth=1.25pt,linecolor=blue]{0}{13.7}{2.2 0.15 x mul sub 2.71828 0.2 x mul exp mul 2.2 sub}
\psline(0,0)(10.4,2.8)
\psline(13.7,0)(12,2.9)
\psarc(0,0){1}{0}{20}\rput(2,0.25){\footnotesize $d$}
\psarc(13.7,0){1}{120}{180}\rput(12.4,0.5){\footnotesize $a$}
\uput[d](13.7,0){\footnotesize 13,7}
\end{pspicture}\\ \hline
\end{tabular}\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/50.png)
Partie C : interrogation des modèles
À partir d'un grand nombre d'observations des performances de joueurs professionnels, on a obtenu les résultats moyens suivants:
![\[\begin{tabular}{|*4{p{4.2cm}|}}\hline
Angle de d\'ecollage en degr\'e
&Hauteur maximale en yard
&Angle d'atterrissage en degr\'e
&Distance horizontale en yard au point de chute\\ \hline
24&32&52&137\\ \hline
\end{tabular}\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/61.png)
Quel modèle, parmi les deux étudiés précédemment, semble le plus adapté pour décrire la frappe de la balle par un joueur professionnel ? La réponse sera justifiée. Partie A : études de deux fonctions
On considère les deux fonctions
et
définies sur l'intervalle
par:
![\[f(x) = 0,06\left(-x^2 +13,7x\right)\quad \text{et}\quad g(x) = (-0,15x + 2,2)e^{0,2x} - 2,2.\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/65.png)
On admet que les fonctions
et
sont dérivables et on note
et
leurs fonctions dérivées respectives.
Partie B : trajectoires d'une balle de golf
Pour frapper la balle, un joueur de golf utilise un instrument appelé « club» de golf.
On souhaite exploiter les fonctions
et
étudiées en Partie A pour modéliser de deux façons différentes la trajectoire d'une balle de golf. On suppose que le terrain est parfaitement plat.
On admettra ici que
est la valeur qui annule la fonction
et une approximation de la valeur qui annule la fonction
.
On donne ci-dessous les représentations graphiques de
et
sur l'intervalle [0 ; 13,7].
![$$(-1,-1)(14,3.5)
\psgrid[gridlabels=0pt,subgriddiv=1,gridwidth=0.2pt]
\psaxes[linewidth=1.25pt,Dx=20,Dy=20]{->}(0,0)(-1,-1)(14,3.5)
\psplot[plotpoints=1000,linewidth=1.25pt,linecolor=red]{0}{13.7}{13.7 x mul x dup mul sub 0.06 mul}\uput[ul](3,2){\red $\mathcal{C}_f$}
\psplot[plotpoints=1000,linewidth=1.25pt,linecolor=blue]{0}{13.7}{2.2 0.15 x mul sub 2.71828 0.2 x mul exp mul 2.2 sub}\uput[ur](12,2.2){\blue $\mathcal{C}_g$}
\uput[dl](0,0){0}\uput[d](1,0){1}\uput[l](0,1){1}\uput[d](13.7,0){13,7}
$$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/95.png)
Pour
représentant la distance horizontale parcourue par la balle en dizaine de yards après la frappe, (avec
),
(ou
selon le modèle) représente la hauteur correspondante de la balle par rapport au sol, en dizaine de yards (1 yard correspond à environ
mètre).
On appelle « angle de décollage » de la balle, l'angle entre l'axe des abscisses et la tangente à la courbe (
ou
selon le modèle) en son point d'abscisse
. Une mesure de l'angle de décollage de la balle est
un nombre réel
tel que
est égal au coefficient directeur de cette tangente.
De même, on appelle « angle d'atterrissage » de la balle, l'angle entre l'axe des abscisses et la tangente à la courbe (
ou
selon le modèle) en son point d'abscisse
. Une mesure de l'angle d'atterrissage de la balle est un nombre réel
tel que
est égal à l'opposé du coefficient directeur de cette tangente.
Tous les angles sont mesurés en degré.
![\[\begin{tabular}{|*2{p{8cm}|}}\hline
Le sch\'ema illustre les angles de d\'ecollage et d'atterrissage associ\'es \`a la courbe
$\mathcal{C}_f$&Le sch\'ema illustre les angles de d\'ecollage et d'atterrissage
associ\'es \`a la courbe $\mathcal{C}_g$.\\ \hline
\psset{unit=0.5cm}
\begin{pspicture}(-0.3,-0.75)(14,3.5)
%\psgrid
\psaxes[linewidth=1.25pt,Dx=20,Dy=10](0,0)(-0.3,-0.3)(14,3)
\psplot[plotpoints=1000]{0}{2}{0.822 x mul}
\psplot[plotpoints=1000,linewidth=1.25pt,linecolor=red]{0}{13.7}{13.7 x mul x dup mul sub 0.06 mul}\uput[ul](3,2){\red $\mathcal{C}_f$}
\psline(13.7,0)(11,2)
\psarc(0,0){0.7}{0}{40}\rput(1.2,0.5){\footnotesize $d$}
\psarc(13.7,0){0.7}{140}{180}\rput(12.4,0.5){\footnotesize $a$}
\uput[d](13.7,0){\footnotesize 13,7}
\end{pspicture}&\psset{unit=0.5cm}
\begin{pspicture}(-0.3,-0.75)(14,3.5)
%\psgrid
\psaxes[linewidth=1.25pt,Dx=20,Dy=10](0,0)(-0.3,-0.5)(14,3)
\psplot[plotpoints=1000,linewidth=1.25pt,linecolor=blue]{0}{13.7}{2.2 0.15 x mul sub 2.71828 0.2 x mul exp mul 2.2 sub}
\psline(0,0)(10.4,2.8)
\psline(13.7,0)(12,2.9)
\psarc(0,0){1}{0}{20}\rput(2,0.25){\footnotesize $d$}
\psarc(13.7,0){1}{120}{180}\rput(12.4,0.5){\footnotesize $a$}
\uput[d](13.7,0){\footnotesize 13,7}
\end{pspicture}\\ \hline
\end{tabular}\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/111.png)
Partie C : interrogation des modèles
À partir d'un grand nombre d'observations des performances de joueurs professionnels, on a obtenu les résultats moyens suivants:
![\[\begin{tabular}{|*4{p{4.2cm}|}}\hline
Angle de d\'ecollage en degr\'e
&Hauteur maximale en yard
&Angle d'atterrissage en degr\'e
&Distance horizontale en yard au point de chute\\ \hline
24&32&52&137\\ \hline
\end{tabular}\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/122.png)
Quel modèle, parmi les deux étudiés précédemment, semble le plus adapté pour décrire la frappe de la balle par un joueur professionnel ? La réponse sera justifiée.
Partie A : études de deux fonctions
Partie B : trajectoires d'une balle de golf
Partie C : interrogation des modèles
Les angles de décollage et d'atterissage sont très clairement différents, et le modèle parabolique de la fonction
n'est donc clairement pas adapté.
La hauteur maximale est aussi mieux approchée par le second modèle.
Parmi les deux modèles étudiés, le modèle fourni par la fonction
semble donc
le plus adapté.
Cacher la correction
On considère les deux fonctions
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/1.png)
![$g$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/2.png)
![$[0~;~+\infty[$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/3.png)
![\[f(x) = 0,06\left(-x^2 +13,7x\right)\quad \text{et}\quad g(x) = (-0,15x + 2,2)e^{0,2x} - 2,2.\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/4.png)
On admet que les fonctions
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/5.png)
![$g$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/6.png)
![$f'$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/7.png)
![$g'$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/8.png)
- On donne le tableau de variations complet de la fonction
sur l'intervalle
.
- Justifier la limite de
en
.
- Justifier les variations de la fonction
.
- Résoudre l'équation
.
- Justifier la limite de
-
- Déterminer la limite de
en
.
- Démontrer que, pour tout réel
appartenant à
on a :
.
- Étudier les variations de la fonction
et dresser son tableau de variations sur
.
Préciser une valeur approchée àprès du maximum de
.
- Montrer que l'équation
admet une unique solution non nulle et déterminer, à
près, une valeur approchée de cette solution.
- Déterminer la limite de
Partie B : trajectoires d'une balle de golf
Pour frapper la balle, un joueur de golf utilise un instrument appelé « club» de golf.
On souhaite exploiter les fonctions
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/27.png)
![$g$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/28.png)
On admettra ici que
![$13,7$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/29.png)
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/30.png)
![$g$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/31.png)
On donne ci-dessous les représentations graphiques de
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/32.png)
![$g$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/33.png)
![$$(-1,-1)(14,3.5)
\psgrid[gridlabels=0pt,subgriddiv=1,gridwidth=0.2pt]
\psaxes[linewidth=1.25pt,Dx=20,Dy=20]{->}(0,0)(-1,-1)(14,3.5)
\psplot[plotpoints=1000,linewidth=1.25pt,linecolor=red]{0}{13.7}{13.7 x mul x dup mul sub 0.06 mul}\uput[ul](3,2){\red $\mathcal{C}_f$}
\psplot[plotpoints=1000,linewidth=1.25pt,linecolor=blue]{0}{13.7}{2.2 0.15 x mul sub 2.71828 0.2 x mul exp mul 2.2 sub}\uput[ur](12,2.2){\blue $\mathcal{C}_g$}
\uput[dl](0,0){0}\uput[d](1,0){1}\uput[l](0,1){1}\uput[d](13.7,0){13,7}
$$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/34.png)
Pour
![$x$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/35.png)
![$0 < x < 13,7$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/36.png)
![$f(x)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/37.png)
![$g(x)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/38.png)
![$0,914$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/39.png)
On appelle « angle de décollage » de la balle, l'angle entre l'axe des abscisses et la tangente à la courbe (
![$\mathcal{C}_f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/40.png)
![$\mathcal{C}_g$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/41.png)
![$0$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/42.png)
![$d$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/43.png)
![$\tan (d)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/44.png)
De même, on appelle « angle d'atterrissage » de la balle, l'angle entre l'axe des abscisses et la tangente à la courbe (
![$\mathcal{C}_f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/45.png)
![$\mathcal{C}_g$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/46.png)
![$13,7$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/47.png)
![$a$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/48.png)
![$\tan (a)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/49.png)
Tous les angles sont mesurés en degré.
![\[\begin{tabular}{|*2{p{8cm}|}}\hline
Le sch\'ema illustre les angles de d\'ecollage et d'atterrissage associ\'es \`a la courbe
$\mathcal{C}_f$&Le sch\'ema illustre les angles de d\'ecollage et d'atterrissage
associ\'es \`a la courbe $\mathcal{C}_g$.\\ \hline
\psset{unit=0.5cm}
\begin{pspicture}(-0.3,-0.75)(14,3.5)
%\psgrid
\psaxes[linewidth=1.25pt,Dx=20,Dy=10](0,0)(-0.3,-0.3)(14,3)
\psplot[plotpoints=1000]{0}{2}{0.822 x mul}
\psplot[plotpoints=1000,linewidth=1.25pt,linecolor=red]{0}{13.7}{13.7 x mul x dup mul sub 0.06 mul}\uput[ul](3,2){\red $\mathcal{C}_f$}
\psline(13.7,0)(11,2)
\psarc(0,0){0.7}{0}{40}\rput(1.2,0.5){\footnotesize $d$}
\psarc(13.7,0){0.7}{140}{180}\rput(12.4,0.5){\footnotesize $a$}
\uput[d](13.7,0){\footnotesize 13,7}
\end{pspicture}&\psset{unit=0.5cm}
\begin{pspicture}(-0.3,-0.75)(14,3.5)
%\psgrid
\psaxes[linewidth=1.25pt,Dx=20,Dy=10](0,0)(-0.3,-0.5)(14,3)
\psplot[plotpoints=1000,linewidth=1.25pt,linecolor=blue]{0}{13.7}{2.2 0.15 x mul sub 2.71828 0.2 x mul exp mul 2.2 sub}
\psline(0,0)(10.4,2.8)
\psline(13.7,0)(12,2.9)
\psarc(0,0){1}{0}{20}\rput(2,0.25){\footnotesize $d$}
\psarc(13.7,0){1}{120}{180}\rput(12.4,0.5){\footnotesize $a$}
\uput[d](13.7,0){\footnotesize 13,7}
\end{pspicture}\\ \hline
\end{tabular}\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/50.png)
- Première modélisation : on rappelle qu'ici, l'unité étant la dizaine de yards,
représente la distance horizontale parcourue par la balle après la frappe et
la hauteur correspondante de la balle.
Selon ce modèle :- Quelle est la hauteur maximale, en yard, atteinte par la balle au cours de sa trajectoire ?
- Vérifier que
.
- Donner une mesure en degré de l'angle de décollage de la balle, arrondie au dixième. (On pourra éventuellement utiliser le tableau ci-dessous).
- Quelle propriété graphique de la courbe
permet de justifier que les angles de décollage et d'atterrissage de la balle sont égaux ?
- Seconde modélisation : on rappelle qu'ici, l'unité étant la dizaine de yards,
représente la distance horizontale parcourue par la balle après la frappe et
la hauteur correspondante de la balle. Selon ce modèle :
- Quelle est la hauteur maximale, en yard, atteinte par la balle au cours de sa trajectoire ?
On précise que
et
.
- Donner une mesure en degré de l'angle de décollage de la balle, arrondie au dixième. (On pourra éventuellement utiliser le tableau ci-dessous).
- Justifier que
est une valeur approchée, arrondie à l'unité près, d'une mesure en degré de l'angle d'atterrissage de la balle.
Tableau : extrait d'une feuille de calcul donnant une mesure en degré d'un angle quand on connait sa tangente :
- Quelle est la hauteur maximale, en yard, atteinte par la balle au cours de sa trajectoire ?
On précise que
Partie C : interrogation des modèles
À partir d'un grand nombre d'observations des performances de joueurs professionnels, on a obtenu les résultats moyens suivants:
![\[\begin{tabular}{|*4{p{4.2cm}|}}\hline
Angle de d\'ecollage en degr\'e
&Hauteur maximale en yard
&Angle d'atterrissage en degr\'e
&Distance horizontale en yard au point de chute\\ \hline
24&32&52&137\\ \hline
\end{tabular}\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/61.png)
Quel modèle, parmi les deux étudiés précédemment, semble le plus adapté pour décrire la frappe de la balle par un joueur professionnel ? La réponse sera justifiée. Partie A : études de deux fonctions
On considère les deux fonctions
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/62.png)
![$g$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/63.png)
![$[0~;~+\infty[$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/64.png)
![\[f(x) = 0,06\left(-x^2 +13,7x\right)\quad \text{et}\quad g(x) = (-0,15x + 2,2)e^{0,2x} - 2,2.\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/65.png)
On admet que les fonctions
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/66.png)
![$g$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/67.png)
![$f'$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/68.png)
![$g'$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/69.png)
- On donne le tableau de variations complet de la fonction
sur l'intervalle
.
- Justifier la limite de
en
.
- Justifier les variations de la fonction
.
- Résoudre l'équation
.
- Justifier la limite de
-
- Déterminer la limite de
en
.
- Démontrer que, pour tout réel
appartenant à
on a :
.
- Étudier les variations de la fonction
et dresser son tableau de variations sur
.
Préciser une valeur approchée àprès du maximum de
.
- Montrer que l'équation
admet une unique solution non nulle et déterminer, à
près, une valeur approchée de cette solution.
- Déterminer la limite de
Partie B : trajectoires d'une balle de golf
Pour frapper la balle, un joueur de golf utilise un instrument appelé « club» de golf.
On souhaite exploiter les fonctions
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/88.png)
![$g$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/89.png)
On admettra ici que
![$13,7$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/90.png)
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/91.png)
![$g$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/92.png)
On donne ci-dessous les représentations graphiques de
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/93.png)
![$g$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/94.png)
![$$(-1,-1)(14,3.5)
\psgrid[gridlabels=0pt,subgriddiv=1,gridwidth=0.2pt]
\psaxes[linewidth=1.25pt,Dx=20,Dy=20]{->}(0,0)(-1,-1)(14,3.5)
\psplot[plotpoints=1000,linewidth=1.25pt,linecolor=red]{0}{13.7}{13.7 x mul x dup mul sub 0.06 mul}\uput[ul](3,2){\red $\mathcal{C}_f$}
\psplot[plotpoints=1000,linewidth=1.25pt,linecolor=blue]{0}{13.7}{2.2 0.15 x mul sub 2.71828 0.2 x mul exp mul 2.2 sub}\uput[ur](12,2.2){\blue $\mathcal{C}_g$}
\uput[dl](0,0){0}\uput[d](1,0){1}\uput[l](0,1){1}\uput[d](13.7,0){13,7}
$$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/95.png)
Pour
![$x$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/96.png)
![$0 < x < 13,7$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/97.png)
![$f(x)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/98.png)
![$g(x)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/99.png)
![$0,914$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/100.png)
On appelle « angle de décollage » de la balle, l'angle entre l'axe des abscisses et la tangente à la courbe (
![$\mathcal{C}_f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/101.png)
![$\mathcal{C}_g$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/102.png)
![$0$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/103.png)
![$d$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/104.png)
![$\tan (d)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/105.png)
De même, on appelle « angle d'atterrissage » de la balle, l'angle entre l'axe des abscisses et la tangente à la courbe (
![$\mathcal{C}_f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/106.png)
![$\mathcal{C}_g$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/107.png)
![$13,7$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/108.png)
![$a$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/109.png)
![$\tan (a)$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/110.png)
Tous les angles sont mesurés en degré.
![\[\begin{tabular}{|*2{p{8cm}|}}\hline
Le sch\'ema illustre les angles de d\'ecollage et d'atterrissage associ\'es \`a la courbe
$\mathcal{C}_f$&Le sch\'ema illustre les angles de d\'ecollage et d'atterrissage
associ\'es \`a la courbe $\mathcal{C}_g$.\\ \hline
\psset{unit=0.5cm}
\begin{pspicture}(-0.3,-0.75)(14,3.5)
%\psgrid
\psaxes[linewidth=1.25pt,Dx=20,Dy=10](0,0)(-0.3,-0.3)(14,3)
\psplot[plotpoints=1000]{0}{2}{0.822 x mul}
\psplot[plotpoints=1000,linewidth=1.25pt,linecolor=red]{0}{13.7}{13.7 x mul x dup mul sub 0.06 mul}\uput[ul](3,2){\red $\mathcal{C}_f$}
\psline(13.7,0)(11,2)
\psarc(0,0){0.7}{0}{40}\rput(1.2,0.5){\footnotesize $d$}
\psarc(13.7,0){0.7}{140}{180}\rput(12.4,0.5){\footnotesize $a$}
\uput[d](13.7,0){\footnotesize 13,7}
\end{pspicture}&\psset{unit=0.5cm}
\begin{pspicture}(-0.3,-0.75)(14,3.5)
%\psgrid
\psaxes[linewidth=1.25pt,Dx=20,Dy=10](0,0)(-0.3,-0.5)(14,3)
\psplot[plotpoints=1000,linewidth=1.25pt,linecolor=blue]{0}{13.7}{2.2 0.15 x mul sub 2.71828 0.2 x mul exp mul 2.2 sub}
\psline(0,0)(10.4,2.8)
\psline(13.7,0)(12,2.9)
\psarc(0,0){1}{0}{20}\rput(2,0.25){\footnotesize $d$}
\psarc(13.7,0){1}{120}{180}\rput(12.4,0.5){\footnotesize $a$}
\uput[d](13.7,0){\footnotesize 13,7}
\end{pspicture}\\ \hline
\end{tabular}\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/111.png)
- Première modélisation : on rappelle qu'ici, l'unité étant la dizaine de yards,
représente la distance horizontale parcourue par la balle après la frappe et
la hauteur correspondante de la balle.
Selon ce modèle :- Quelle est la hauteur maximale, en yard, atteinte par la balle au cours de sa trajectoire ?
- Vérifier que
.
- Donner une mesure en degré de l'angle de décollage de la balle, arrondie au dixième. (On pourra éventuellement utiliser le tableau ci-dessous).
- Quelle propriété graphique de la courbe
permet de justifier que les angles de décollage et d'atterrissage de la balle sont égaux ?
- Seconde modélisation : on rappelle qu'ici, l'unité étant la dizaine de yards,
représente la distance horizontale parcourue par la balle après la frappe et
la hauteur correspondante de la balle. Selon ce modèle :
- Quelle est la hauteur maximale, en yard, atteinte par la balle au cours de sa trajectoire ?
On précise que
et
.
- Donner une mesure en degré de l'angle de décollage de la balle, arrondie au dixième. (On pourra éventuellement utiliser le tableau ci-dessous).
- Justifier que
est une valeur approchée, arrondie à l'unité près, d'une mesure en degré de l'angle d'atterrissage de la balle.
Tableau : extrait d'une feuille de calcul donnant une mesure en degré d'un angle quand on connait sa tangente :
- Quelle est la hauteur maximale, en yard, atteinte par la balle au cours de sa trajectoire ?
On précise que
Partie C : interrogation des modèles
À partir d'un grand nombre d'observations des performances de joueurs professionnels, on a obtenu les résultats moyens suivants:
![\[\begin{tabular}{|*4{p{4.2cm}|}}\hline
Angle de d\'ecollage en degr\'e
&Hauteur maximale en yard
&Angle d'atterrissage en degr\'e
&Distance horizontale en yard au point de chute\\ \hline
24&32&52&137\\ \hline
\end{tabular}\]](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022/122.png)
Quel modèle, parmi les deux étudiés précédemment, semble le plus adapté pour décrire la frappe de la balle par un joueur professionnel ? La réponse sera justifiée.
Correction exercice 4
Partie A : études de deux fonctions
-
- On a, pour tout
,
avec
et
d'où, par produit, la limite
- On a
d'où le tableau de signes et de variations
- On a
- On a, pour tout
-
- On a
et
et donc, par produit,
et donc aussi,
- On a
avec
et
et
donc
.
On obtient donc, soit pour tout
,
- On obtient alors le tableau de signes et de variations:
On trouve comme valeur maximale
- on a pour tout
,
et donc l'équation
n'admet aucune soltuion.
Sur, la fonction
est continue (car même dérivable), strictement décroissante avec
et
.
Ainsi, d'après le théorème des valeurs intermédiaires, ou théorème de la bijection, l'équationadmet une unique solution sur
.
Finalement, l'équationadmet une unique solution sur
, c'est-à-dire une unique solution non nulle.
Avec la calculatrice, par balayage ou dichotomie par exemple, on trouve comme valeur approchée de cette solution.
- On a
Partie B : trajectoires d'une balle de golf
- Première modélisation : on rappelle qu'ici, l'unité étant la dizaine de yards,
représente la distance horizontale parcourue par la balle après la frappe et
la hauteur correspondante de la balle.
Selon ce modèle :- On a vu que le maximum de
est
soit une hauteur maximale de 28,15 yards.
- On a
, d'où
.
-
est le coefficient directeur de la tangente à la courbe de
en 0, c'est-à-dire justement au décollage.
On a doncet donc, d'après le tableau donné dans l'énoncé,
.
- La courbe est une parabole. En particulier, elle est symétrique par rapport à la droite
, abscisse de son sommet. Les points de décollage
et d'atterissage
sont symétriques eux aussi par rapport à cette droite, et il en est donc de même des angles que forment les tangentes à la courbes en ces deux points, c'est-à-dire que les angles de décollage et d'atterrissage de la balle sont égaux.
- On a vu que le maximum de
- Seconde modélisation
- D'après ce modèle, la hauteur maximale est
soit 29,8 yard. On précise que et.
-
soit, d'après le tableau foruni,
.
- De même pour l'angle d'atterissage,
soit
soit, arrondie à l'unité près, environ 62 degrés.
- D'après ce modèle, la hauteur maximale est
Partie C : interrogation des modèles
Les angles de décollage et d'atterissage sont très clairement différents, et le modèle parabolique de la fonction
![$f$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022_c/54.png)
La hauteur maximale est aussi mieux approchée par le second modèle.
Parmi les deux modèles étudiés, le modèle fourni par la fonction
![$g$](/Generateur-Devoirs/TS/ChapExponentielle/ex12052022_c/55.png)
Cacher la correction
Quelques autres devoirs
Voir aussi: